sur un tronçon commun au Camino de Levante et au Camino
del Sureste.
Sur un tronc, on voit le dispositif destiné à récolter la résine.
Voici un petit poème de Théophile Gautier :
« Car,
pour lui dérober ses larmes de résine,
L’homme, avare
bourreau de la création,
Qui ne vit qu’aux dépens de ceux
qu’il assassine,
Dans son tronc douloureux ouvre un large
sillon ! »
Sur la photo ci-dessous : plus loin, dans la même pinède qui me mènera aux portes d'Arévalo, un petit air des Landes ...
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